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Si ma femme organise chaque semaine des fêtes dans sa maison en banlieue ouest de Paris, ce soir la fête est un peu différente, d’abord c’est le nouvel an, et ensuite elle n’est pas dans le milieu très sélectif qu’elle fréquente habituellement, un cercle privé dédié aux personnes vivant des relations de pouvoir très poussées au sein de leur couple. Maîtresse m’a indiqué que je serai le seul esclave actif (Y-en aura-t’il d’autres non actifs?) et que ce sera la dernière étaoe de mon coming-out!

Cela la fait toujours rire de me faire croire que c’est ma volonté et ma raison d’être que vivre en esclave à son service et celui de son amoureuse, de souffrir en continu pour elles, de regretter chaque jour l’enchaînement qui m’a amené à ramper et vivre dans une déchéance peu imaginable. Ce n’est que l’esprit de vengeance d’Alice et de ma femme, Sonia, qui m’ont conduit là où je suis, mon vice aussi. Evidemment je ne lui réponds rien, et je la remercie chaleureusement en baisant ses pieds, tremblant à chaque instant de commettre une erreur.

Les invités, au nombre de six, vont binôt arriver et Alice me sonne avec la petite cloche pour vérifier que tout est prêt pour la soirée. Je la suis respectueusement tandis qu’elle fait le tour de l’immense salon, vérifiant les apéritifs, les verres et les alcools. Sur mes talons de dix-huit centimètres je la dépasse de quelques centimètres, elle est juchée sur des plateformes très hautes également, mais bien plus confortable que les miennes : je n’imagine pas que les semelles aient été remplacée par du papier à gros grains qui met mes plantes de pieds en sang en quelques heures. D’aunt que les deux chevilles sont reliées par une courte barre en métal, rendant mes pas encore plus compliqués. Magie du dressage de mes deux bourreaux, je me débrouille parfaitement.

Le tour de la cuisine et de la salle à manger est aussi minitieux, tout va bien, je respire, si je puis dire, car le corset de maintient que j’ai ne me laisse qu’une faible partie de mes poumons disponible. Il est serré au maximum pour la première fois ce soir et Maîtresse a décidé d’en faire faire un autre plus serré pour continuer de me torturer ainsi! Je suis sous tension en permanence, mes organes compressés de l’extérieur par ce corset, et par l’intérieur par des godes et plugs qu’elles prennent plaisir à varier. Ce soir j’ai un gode métallique, comme un obus militaire, long et terriblement épais, qui rend la tenue vertical très douloureuse, mais cela est bien le but rechercher, me rendre la vie si pénible que je ne manquerais pas de faire des erreurs et d’être ainsi puni. Le gode est maintenu par des chaînes suspendues au corset.

Alice se tourne vers moi et commence son inspection. Je ne dois en aucun cas croiser son regard, ce qui n’est pas si facile avec la minerve corset que je porte serrée autour du cou. En suir avec plusieurs anneaux et une très courte laisse attachée à l’anneau central. Je porte un carré brun très court, sachant que je n’ai plus de cheveux depuis qu’ils ont été épilés, ce qui facilite le changement de perruque. Mes sourcils, tout aussi absents, son marqués d’un trait rose, comme le contour de mes yeux, très étirés depuis la dernière opération, ils semblent ne plus finir de s’étirer. Mes lèvres gonflées sont du même rose, brillant cette fois, tandis que mes joues sont également colorées d’un rond rose, me rendant plus proche d’une poupée que d’autre chose.

Mais la ressemblance avec une poupée est osée, puisque je porte un épais anneau au nez, et un large tatouage, du même rose que mon maquillage, sur le front, où il est écrit sexslave! C’est dire que le coming out est inutile pour tout le monde. Alice apprécie le maquillage, vérifie la tension de la minerve, tout va bien, je suis soulagé.

Mes seins sont devenus bien trop gros et opulents pour pouvoir être serrés dans le corset qui arrive juste en-dessous. Les hormones ont bien aidé, comme les injections de graisse, mais évidemment les implants, en trois opérations distinctes, on fait de ma poitrine des obus d’un volume E, mais si je porte parfois une brassière, jamais je n’ai eu de soutien-gorge. Mes tétons ont gonflé sous l’action d’une part des injections d’hormone, mais aussi grâce au stretiching des différents piercings qui les ornent. Les deux gros anneaux à la base sont en permanence reliés par une chaine, tandis que deux trabzon escort autres anneaux les décorent. J’en suis bêtement fier, tant Maîtresse les apprécient et adore les torturer sans fin. La satisfaire est tout ce qui compte pour moi à ce stade de ma vie.

Mes bas sont impeccablement tirés sur mon corset, rien à dire. De même pour mon paquet qui est à demeure pour l’éternité, je l’ai compris maintenant : Maîtresse m’a fait percer le gland de part en part d’un diamètre directement de huit millimètres. C’était un médecin qui a opéré, mais sans anesthésie, je me souviens encore de la douleur, de mes cris malgré le bâillon profondément enfoncé dans gorge. Une fois l’anneau inséré, la cicatrisation a pris un gros mois, comme la cictrisation du même anneau posé sur mon périné, au-travers de mon anus! La douleur a été autre, incompréhensible. Une fois la cicatrisation effectuée, le médecin a tiré sur mon sexe de façon extrême, jusqu’à ce que l’anneau du sexe pénètre le trou cicatrisé du de mon cul, me scellant ainsi en soudant l’anneau. Mon sexe est en permanence collé à mon anus, je chie dessus, tout comme je pisse de l’anus maintenant. La tension est toujours aussi vivace un an après, pour le grand plaisir de Maîtresse et surtout d’Alice. En une seule année j’ai totalement perdu la sensation de posséder un sexe, il me semble être devenu un membre fantôme puisque je le sens en permanence, je ne le vois jamais!

Mes couilles ont du être tirées en avant de mon sexe pour permettre à celui-ci de s’étedre aussi loin, une couillre de chaque côté de la tige. Alice a eu l’idée de les rejoindre par un anneau les prenant à la pase de chaque couille, le pénis en dessous : ainsi elles sont offertes en permanence, exposées et comprimées, séparées par mon sexe comme deux boules indépendantes. Avec les string de dentelle que je mets dans les grandes occasions, comme ce soir, il serait possible de se méprendre avec deux grandes lèvres hypertrophiées. Bien entendu mon string est du même rose, comme l’uniforme en latex que je porte de bonne à la française revisitée. La jupe très courte, ne chache rien, en fait si, juste ce qu’il faut pour que ce soit excitant.

Alice est satisfaite, inutile de me rappeler les instructions, elle enfonce ses ongles dans mes couilles, m’interdisant la moindre expression, je ne dis rien, je garde mon souffle, je me concentre, je m’offre. Quand elle me soulage enfin, je me jette maladroitement à ses pieds, difficile ntre le gode, le corset et les chaussures pour baiser ses pieds, et la remercier longuement. Je suis profondément sincère, il faut le savoir, ma dévotion envers Maîtresse et Mademoiselle n’est en rien feinte, et parfois je me laisse convaincre que c’est bien ce dont j’avais besoin.

La première à arriver est Claire, ma cousine germaine, quasiment jumelle nous sommes nés à deux jours d’intervalle! Nous avons passé notre enfance très proches, et c’est mon premier amour, ma première faute aussi. Petite, un peu ronde, elle m’a toujours fait beaucoup d’effet et je crois qu’elle a forgé dans ma tête l’idéal féminin, assez loin des clichés classiques. Elle me jette un regard méprisant, me tendant son manteau, son sac et une bouteille de vin qu’elle a prise pour le dîner, et avec un grand sourire fait la bise à Charlotte, ma femme. Je n’avais pas revu Claire depuis des années, quand ma femme a voulu reprendre le contact lors de mon dressage. Sa présence me met mal à l’aise, me renvoyant sans cesse à ma culpabilité.

Je n’en ai pas fini d’être mal à l’aise, car les autres invitées, il n’y a que des femmes, arrivent les unes après les autres et cela ne promet pas des réjouissances pour moi : je comprends l’acte final de mon coming out comme dit Charlotte, puisqu’il ne s’agit que de victimes de mes perversions passées, devant lesquelles j’ai déjà confessé mes fautes, mais jamais toutes en même temps. D’ailleurs certaines ne se connaissent même pas.

La plus jeune est Svtlana qui a vingt-cinq ans, mais était juste majeure quand elle était en stage dans mon entreprise. La plus âgée est ma mère, Irène, accompagnée de ma sœur, Anne, les deux qui me rendent le plus mal à l’aise. Aucune n’est surprise de ma présentation, ni des tourments que je subi, puisque j’ai déjà été présenté ainsi et que mon sort est depuis longtemps à la fois scellé et public, pour leur grande tunceli escort satisfaction. Je croyais à m’amour de ma mère qui n’avait, en fait, que mépris à mon égard. Cruelle désillusion.

Les deux dernières sont des employées, France qui a été ma secrétaire peu avant ma disgrâce, et Violaine, une jeune chargée de projet prometteuse. Mon cerveau est bloqué par trop de sollicitations et de pensées négatives, je ne dis évidemment pas un mot, je n’ai plus le droit de m’exprimer depuis deux ans et l’idée d’émettre une phrase m’est totalement étrangère. Cela n’aide pas à réfléchir, et, de fait, je ne réfléchis plus, je ne pense qu’à obéir et servir mes deux tortionnaires.

Je fais le service avec précaution pour alimenter les verres, les conversations sont paisibles, la musique douce, les femmes font connaissance les unes avec les autres. Enfin, la maîtresse de maison demande l’attention de toutes.

« Je vous remercie d’être venues toutes en ce soir, pour terminer le coming out de Miela, que vous avez connu sous un autre nom et une autre apparence. Vous l’avez compris depuis longtemps, Miela est une femelle masochiste et esclave, qui adore son état et ne vis que pour la satisfaction d’Alice et moi.

Si telle est sa place, c’est que dans un passé pas si ancien pour certaines d’entre vous, elle s’est comportée comme un mâle prédateur et pervers et a abusé de vous sous une forme ou sous une autre. Est-ce le pire? Je n’en sais rien, mais il paie pour tous les autres, et il n’a pas fini de le faire, je suis certaine que vous aurez envie d’y contribuer. Sachez que d’autres ont eu à subir sa malveillance, mais n’ont pas souhaité se venger, à l’inverse vous. Moi il m’a trahie et humiliée publiquement, jamais il ne pourra expier assez pour cela.

Cette nuit, nous allons mener une sorte de groupe de parole : chacune pourra décrire ce qu’elle a subi de Miela, puis lui faire subir la torture de son choix. Sachez que nous avons un donjon au sous-sol, qui est son royaume et dont elle ne sort que pour notre service, ayant un cachot très peu confortable pour elle.

Enfin, nous sommes huit victimes, et j’ai mis en place un calendrier Doodle où vous pourrez réserver les services de Miela, pour une durée maximale d’une semaine à la suite, pour en laissez un peu aux autres, mais à la seule condition de lui faire subir des expériences extrêmes, vous êtes libre des conséquences sur son physique ou son mental, peu importe. Alice a du vous envoyer le lien, profitez-en, elle est maintenant une esclave maso partagée entre nous.

Pour terminer la soirée, j’espère que vous êtes en forme, nous procèderons au vote quand à sa sanction. Sachez qu’il encourt la castration, physique, bien entendu, si la condamnation tombe, elle sera alors exécutée dans la foulée, sans anesthésie, le matériel est disponible.

Voilà, nous avons toute la soirée, sachez que Miela est dans des conditions de contrainte extrême, mais que cela n’interdit pas d’en rajouter, vous avez carte blanche pour tout ce que vous voudrez lui faire subir, ici dans le salon, ou dans le donjon en bas.

A toute Seigneure, tout honneur, je propose qu’Alice commence, puisque tout est parti d’elle! »

Castration! Elle est sérieuse, j’ai les larmes aux yeux, je sens une telle animosité dans ce groupe, je ne suis qu’une proie entre leurs mains. Ne sont-elles pas plus perverses que je ne l’ai été? Je ne peux rien y faire, je garde mon sourire mécanique, rempli d’amour et de dévotion pour Charlotte et Alice qui me fait me tenir à quatre pattes pour s’asseoir sur moi et donner son récit en quelques mots.

« J’avais un entretien avec ce qu’était Miela, le Directeur Général des Laboratoires Legendre, propriété de la famille de Charlotte, pour un poste de marketing. Très rapidement il m’a indiqué que l’entreprise cherchait des personnes dévouées, souples et obéissantes. A ce dernier mot, j’ai été interloquée, lui demandant ce qu’il entendait par là, et tout de go, il m’a demandé de me mettre totalement nue et de venir lui faire une fellation, voilà ce qu’il attendait de toutes les employées!

Je me suis levée, je l’ai giflé, il m’a attrapé par les mains, et si je n’avais pas hurlé, il m’aurait sans doute violée. France est rentrée et il m’a lachée.

Porter plainte aurait été sans doute inutile, vu sa position et l’importance uşak escort de l’entreprise pour la région, aussi j’ai eu l’idée de chercher les propriétaires du laboratoire, et je suis tombée sur Charlotte, qui a d’abord été incrédule tout en étant très ouverte. Elle a demandé à France la confirmation de mes dires, et c’est là que France lui a avoué aussi ce qu’elle subissait, je lui laisse la primeure de vous l’exposer. Charlotte a été alors extraordinaire, d’abord pour m’assurer de son soutien ainsi qu’à France dont les tourments ont été bien pires, puis de faire le point exact sur les monstruosités commises par son mari.

Un jour que je pleurais d’émotion à revivre ces actes, elle m’a embrassée, une chose entraînant une autre, nous sommes tombées amoureuses d’une passion à nulle autre pareille, soudée dans le désir de détruire Miela, ce n’est plus qu’une question de jours qu’elle soit totalement brisée, en exemple pour les mâles.

Bien entendu, elle a déjà subi moultes sévices de ma part, mais ce soir, je lui ai préparé une torture spéciale dont elle se souviendra longtemps, et si j’en crois mes sources, toute sa vie puisque les souffrances ne s’atténueront jamais. »

Connaissant le degré de sadisme d’Alice, je frémis. Elle va mettre la barre très ahut et je vais devoir subir leur folie. Alice me fait apporter la table de contention, qui est une table basse, recouverte d’un coussin noir en cuir, sur laquelle de nombreuses sangles permettent de m’immobiliser totalement. Je me retrouve sur le dos, les jambes attachées sous moi à mes mains, légèrement écartées, la tête pendant dans le vide, me forçant à la maintenir ce qui est particulièrement pénible. La position enfonce l’obus dans mes reins, tout ceci est très inconfortable, mais je sais que ce n’est rien, j’ai subi des positions autrement plus difficiles.

Ma jupette est soulevée, ma culotte en dentelle rose est découpée, libérant la vue sur mes deux couilles tendues, attachées sur le devant par l’anneau qu’Alice a fait installer. Je sais mes couilles très grosses, et le traitement n’a fait que les dilater. La vue est celle de ces deux grosses noix tendues et offertes. Les autres femmes sont attentives, tandis qu’Alice sort un blister de grande taille, contenant une aiguille à prélèvement. Elle doit dépasser les vingt centimètres de long, et elle leur annonce que cette aiguille est la plus épaisse du genre avec deux millimètres de diamètre. Cela ne dit rien aux autres femmes, à moi, si! Je gémis, ce qui fait beaucoup rire.

Alice montre alors trois grandes barrettes en acier chirurgical, et explique qu’elle va me percer les couilles trois fois et poser ces barrettes reliant les deux couilles à chaque fois. Bien entendu, la douleur va être incroyable, mais le plus intéressant c’est que la cicatrisation de piercing dans les couilles est impossible, celle-ci étant trop mouvantes par nature, les plaies resteront à vif en permanence, et pire, les cristallisations éphémères, créeront des douleurs supplémentaires. Les autres femmes applaudissent, moi je ne pense rien, juste que je n’en peux plus, peut-être vais-je m’évanouir, ou mourir?

J’aurais bien voulu, Violaine m’injecte de l’adrénaline dans une veine pour empêcher que cela n’arrive. Malgré mon dressage serré, je ne peux retenir un cri de pitié lorsque je sens la première couille traversée. La tête me tourne, mon estomace convulse, l’aiguille progresse doucement, sous l’œil des téléphones qui filment tout. La seconde couille est attaquée à la suite, mes cris sont stridents, je voudrais bouger, mon cou me torture d’autant que Claire vient s’accroupir sur ma bouche, pour calmer mes cris. Je sens l’aiguille ressortir, Alice la fait coulisser, juste pour le plaisir, faire durer, m’entendre hurler, demander pitié, avant d’enfin glisser la barrette qu’elle vient visser une fois ressortie. La douleur reste aussi vive, la barrette est, à dessein, un peu court, créant une tension sur les couilles pressées.

Alice répète l’opération pour les deux autres barrettes, encore plus lentement, pour faire durer, la sueur coule par terre tant je souffre, je donnerai tout pour que cela s’arrête, mais je n’ai plus rien à offrir, sinon, justement, ma souffrance et ma pauvre vie.

Je suis détaché, sous les applaudissements, j’ai mal au ventre, aux couilles, je pleure, mais je me prosterne aux pieds d’Alice que je baise avec ferveur, montrant mon entrejambe à toutes les autres, en particulier mon sexe cadenassé ainsi à mon cul pour la vie. Alice se dégage en me donnant un coup dans les couilles, me faisant rouler, et propose que nous passions prendre l’entrée avant la prochaine confession!

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